L’auteur écrit sept nouvelles racontant à travers sa vie personnelle et romancée ses histoires d’amour, histoires de vie, de l’adolescence à sa maturité. Le cœur embellit les mauvais souvenirs. L’amour reste le fil conducteur de sa vie.
Après un premier roman, Juliette : une vie presque banale, l’auteur, dans son Journal intime de Juliette va s’attacher à son personnage central Juliette, en la confrontant à tous ses démons, à tous ses désirs de femme, mais aussi à ses doutes. L’auteur, Hervé Bonhomme, va aussi développer au travers du personnage de Juliette son amour pour la peinture, la photo et surtout les voyages ; Juliette va compenser la monotonie de la vie quotidienne en s’évadant au travers des voyages accomplis, seule ou avec Éric, son mari. Malgré son caractère volage, elle saura résister aux brisures de la vie.
Hervé Bonhomme nous plonge au cœur de la vie d’une femme, épouse et mère de famille. Entre son travail d’employée à la sécurité sociale, l’éducation des enfants, les tâches ménagères, Juliette a peu le temps de penser à elle-même. Un jour, elle se réveille avec la sensation désagréable que sa vie lui échappe. Le comportement de son mari volage l’incite à s’essayer à des expériences sexuelles extra-conjugales. Elle renoue avec ses rêves de femme émancipée et se libère peu à peu du modèle que lui impose la société pour mener sa vie comme elle l’entend. Ce premier roman saisit avec acuité le quotidien de familles d’aujourd’hui confrontées aux aléas de l’existence dans une représentation fidèle qui ne manquera pas de résonner avec le vécu propre de chaque lecteur.
» Ces histoires sont sorties, pour certaines, de mon imagination et d’autres sont réelles. Ces histoires entre les hommes ou les animaux ou les animaux entre eux, nous font réfléchir sur la place que l’on donne au animaux dans la chaîne humaine. Nous devrions changer nos opinions. «
Dans cet ouvrage qui nous offre des comptines sur les prénoms des filles et des garçons, Hervé Bonhomme a associé les fruits, les fleurs et les légumes du jardin.
Voici des contes sortis de l’imagination, agrémentés parfois de dessins. Même si certains personnages existent, leurs aventures ne sont que le fruit de l’imagination. Une féerie de mots pour séduire les petits et les grands.
Jean de la Fontaine avait écrit ses fables en prenant des animaux pour transposer la société humaine et ses travers en s’inspirant d’Ésope et de Phèdre. J’ai associé plus simplement des prénoms aux animaux pour qu’aujourd’hui l’homme n’oublie pas qu’il doit garder un équilibre avec la terre et respecter les espèces.
Dans son quatorzième livre de poésie, l’auteur vacille entre l’amour et la solitude. Il se rend compte de la difficulté de vivre à deux et de la fragilité de l’instant où l’amour peut devenir de la haine.